
On suivra les conseils.

Tous ces gens qui se sont débarrassés de leurs ancres. Certains reviendront peut être les rechercher après leur tour.
Un peu comme dans la vie.
Bizavozancr
On redémarre demain après une nouvelle pause « moteur inquiet ».
Finalement, il va bien.
Direction les orques et Gladys, la femelle qui dirige le troupeau. 11 tonnes.
On nous a filé ici un pétard qui pète sous l’eau pour les chasser mais on ne va pas l’utiliser. Et puis, ils sont un peu plus haut pour bouffer des thons bleus.
C’est quand même une belle étape qui démarre.
L’atlantique !!!!
Éole! File nous un coup de main.
Bizatousse
à l’arrêt depuis 48h. On a fait examiner notre moteur par un mécano de Barbate en raison de chute de pression d’huile inquietante. Il a réglé le probleme. Ouf,
Barbate est le port où ont été remorqués plusieurs voiliers dont le safran a été béqueté par la orques. On repart demain
Les cargos au mouillage en face du rocher de Gibraltar.
Une puissance inouïe se dégage de ce spectacle. Les masses d’acier sont énormes.
On est petitou à côté.
Les dauphin faisaient un tapage du tonnerre et on est sorti pour les admirer… 2 min après, on arrivait pile sur un filet de pêche évité de justesse. Je te jure que c’est vrai.
D’accord, c’est une simple coïncidence… mais ces bêtes sont sublimes.
La mer d’huile et sa chaleur étouffante. On veut passer Gibraltar demain soir 3 heures après la haute mer vers 18h pour profiter du courant. (En fait c’est impératif)
on fera une pause demain matin dans un petit port avant Tarifa.
Puis ce sera la double émotion : doubler Gibraltar puis doubler les orques. J’ai de quoi filmer sous l’eau.
Bizozorc.