« J’ai passé la seconde partie de ma vie à casser les pierres, à perforer les
murailles, à percer les portes et à écarter les obstacles que j’ai interposés
entre la lumière et moi dans la première partie de ma vie «
« Liberté sur parole », Octavio Paz.
Ces vers d’Octavio me parlent mais en fait, je ne lis pas la même chose que tout le monde dans ce poème.
Moi, j’y vois que mes rêves se sont créés lors de la première partie de ma vie et que leur caractère un peu inaccessible est matérialisé par les pierres et les murailles qu’il faut perforer.
Pour d’autres… Dans la première partie de leur vie, ils ont vécu en interposant des obstacles entre la lumières et eux, et ils passent la seconde à les perforer pour revoir la lumière.
C’est selon.